CKF: Point d'étape du 20/04/2010


Réunion « informelle » avec le Groupe Legris Industries (le fac-similé ici)

A la demande de Maitre Leloup-Thomas (liquidateur judiciaire pour les sociétés Ceric SA, Pelerin, Hallumeca, Tecauma, Fimec et Adler) une réunion s’est tenue ce jour, au sein de ses bureaux parisiens avec GLI.

Etaient présents au titre de représentants du personnel :
Pour Ceric : Sylvie Casalini et Yves Luteau
Pour Pelerin : Pierre Chuffart et Alain Laumonerie
Pour Hallumeca : Jerome Coppin
Pour Fimec : André Bousseau, Jean-Claude Bureau et Yannick Cousseau
Abs excusés (retard de train) pour Técauma : Yannis Boudaud et Jacques Berthomé
Personne n’est venu pour Adler
Pour le CKF : Franck Loisel et Marie-odile Louis
Face à nous :
Pour GLI : Erwan Taton et Remy Jeannin, Maitres Lorli Boulanger et Mauléon

Dans son introduction Maitre Leloup-Thomas, a précisé que dans le cadre d’une procédure collective tout le monde doit être représenté : les salariés et leurs employeurs, qu’elle souhaitait agir rapidement car toutes les sociétés concernées étaient en liquidation et que la réunion d’aujourd’hui devait amener à une proposition chiffrée de Legris/keyria.

Par la voix de S. Casalini, avec l’accord de tous, nous avons demandé que les avocats de la partie adverse quittent la réunion, car nous étions de notre coté sans conseil (ceci a été fait sur les recommandations de Maitre Pares et Rillov). Mr Taton n’a pas souhaité le départ de ses avocats. Nous en avons donc pris acte et avons décidé de quitter la réunion après avoir demandé une nouvelle date, où toutes les parties concernées et leur conseil seront présents.
C'est-à-dire : 2 Personnes par entité, représentatives des salariés (élues ou non élues) pour toutes les sociétés aujourd’hui invitées + Ceric Automation + Ceric Wistra + Keyria SAS.
Les 2 dates proposées sont : le Lundi 10 mai ou le Jeudi 20 Mai à 15h sur Paris.

Ceci était le but recherché !


Nous mettons en place dès aujourd’hui des réunions de préparation avec nos conseils pour être prêts le jour J.

Ce n’est qu’une première étape, demeurons unis pour faire aboutir nos actions et obtenir de GLI ce qu’il nous doit !

Notre ressenti :
E. Taton semblait nerveux à l’idée de discuter et de nous expliquer la situation dans laquelle les différentes sociétés étaient aujourd’hui : « GLI fait une perte de 100 millions dont 80 sont dus à Keyria ». Il prétendait ne pas vraiment comprendre ce que nous attendions de GLI. Néanmoins il a tout de suite évoqué les actions prud’homales en cours, qui allaient nuire à l’image de GLI.

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