Compte-rendu de la réunion avec les AJ


Vous pouvez télécharger ce compte-rendu ici.

Message du CKF


REUNION AVEC LES AJ PARIS
Nous avons obtenu le principe d'une réunion avec Me Leloup Thomas et les AJ parisiens pour répondre à nos questions. Afin de préparer cette réunion nous vous demandons de bien vouloir nous transmettre toutes vos questions d'ordre générale ou personnelle concernant le déroulement de la procédure, les paiements, les inscriptions au Pôle Emploi, le CRP, etc.
Nous en ferons une synthèse qui servira de base à nos discussions durant cette réunion.
Merci de bien vouloir nous les envoyer au plus tard mercredi 23 , 9h00, c'est à dire demain afin que nous puissions les transmettre au plus vite.

Cordialement,
Administrateur CKF

Giovanni Zamparo nouveau lauréat récompensé


Sur le site Réseau-entreprendre-Limousin:
Giovanni ZAMPARO (06 89 09 30 74), à crée en Avril 2010 la société CERITHERM située à Oradour Sur Vayres. Cette entreprise propose des solutions « clés en main » visant à générer des économies d’énergie, économiquement viables, et en accord avec les contraintes légales, réglementaires et normatives.
Celle-ci propose 3 gammes de prestations qui répondent aux objectifs ci-dessus :
  • les prestations de Service clients sur installations thermiques
  • l’optimisation des performances des installations thermiques
  • l’intégration d’énergies alternatives aux combustibles fossiles
Giovanni ZAMPARO bénéficie d’une expérience professionnelle solide dans ce métier et développe une passion du service.
En effet, celui-ci a acquis une expérience dans ce domaine grâce à son ancien emploi au sein d’une société exerçant dans le même secteur d’activité.
Cette dernière s’est retrouvée en liquidation judiciaire.
C’est pourquoi, c’est le moment pour lui de créer son entreprise.
Aujourd’hui, la société Céritherm emploie 7 salariés et compte atteindre un effectif de 9 salariés d’ici la fin de l’année.

Publié dans l'Usine nouvelle le 01/06/2010


Les ex-salariés de Ceric Automation attaquent Legris Industries
Manifestation organisée ce samedi 29 mai, affaire portée devant les prud’hommes et plaidée ces jours-ci tant pour les cadres que pour les ouvriers, 150 ex-salariés de Ceric Automation, spécialiste des équipements pour tuileries et briqueteries implanté à Nolay (Côte-d’Or), attaquent Legris Industries.
Ils reprochent au groupe qui contrôle la société Keyria, leur maison-mère placée sous sauvegarde, de ne pas avoir respecté ses obligations de co-employeur en matière d’indemnisation.
Organisés en comité d’entraide, ils exigent un minimum de 18 mois de salaire contre seulement 5 000 euros alloués dans le cadre de la liquidation de leur entreprise par l’administrateur judiciaire.
Les salariés dénoncent par ailleurs la « mauvaise gestion » du groupe Legris, repreneur de Ceric en 2006 et qui selon eux « ne connaissait rien à leur métier ».
Interrogé, Legris Industries fait valoir par son porte-parole qui n’avait aucune relation directe avec Ceric Automation. Le groupe indique également avoir alloué 4 millions d’euros gérés par l’administrateur judiciaire au titre du plan de sauvegarde pour l’emploi et de la reprise, en partie, de l’activité à l’initiative d’une quinzaine de cadres avec un effectif de 55 personnes.

Publié dans le Bien Public le 01/06/2010


Ceric : prochaines échéances
Avant deux décisions en fin d’année, c’était aux ex-cadres de Ceric Automation de passer aux prud’hommes de Dijon hier.
Après les ex-salariés non-cadres de Ceric Automation la semaine dernière (nos éditions du 26 mai), c’était hier au tour des cadres de passer aux prud’hommes de Dijon pour exprimer les mêmes revendications.
En premier lieu, les ex-salariés veulent prouver qu’il existe un lien entre Ceric Automation, entreprise de Nolay placée en redressement judiciaire, et cinq autres sociétés (Keyria, Legris Industrie FE, Legris Industries Partners 1, SA Legris Industries et la holding financière Fregate SAS). « Il faut mettre Legris face à ses responsabilités », résumait, hier, un ex-salarié de Ceric Automation. Pour rappel, les 150 salariés de l’entreprise ont été licenciés et seuls 55 ont été pris par l’entreprise Tellus.
En deuxième revendication principale, la question de l’indemnisation des ex-salariés de Ceric Automation, qui serait plus élevée si le lien avec les cinq entreprises était établi. Au lieu des 5 000 € de la prime supra légale de licenciement minimal, ils demandent de 18 à 36 mois de salaire en indemnités. « Nous voulons une indemnité à la hauteur du préjudice et des moyens du groupe », indiquait, hier, un ex-salarié.
Le conseil des prud’hommes s’exprimera sur la suite à donner à ce dossier le 16 novembre pour les non-cadres et le 15 décembre pour les cadres. D’ici là, les ex-salariés devraient mener d’autres actions.