Condamnation de CLEIA par la justice française au profit de CERIC Technologies


Sur le site CERIC Technologies, publié le 11 Octobre 2013 :

Condamnation de CLEIA par la justice française au profit de CERIC Technologies

La cour d’appel de Dijon a condamné la S.A.S CLEIA à restituer à la société CERIC Technologies S.A.S. tout son matériel de laboratoire, y compris le four de de cuisson et la cellule de séchage, basés antérieurement à Nolay.

Cerinnov à Limoges rachète Wistra


Dans Le Populaire, publié le 26 Juin 2013 :

Le groupe Cerinnov, implanté à Limoges et spécialisé dans la fabrication d'équipements de production et de décoration pour les industries céramique et verrière, vient de racheter Wistra, concepteur et fabricant d'équipements thermiques et fournisseur de services complets pour les marchés de la céramique technique et traditionnelle et du traitement thermique. L'entité de Wistra France était jusqu'alors basée à Oradour-sur-Vayres. Les 17 personnes qui y travaillaient vont rejoindre les locaux de Cerinnov à Ester technopole. Wistra Allemagne, basée à Düren, regroupe six personnes et va déménager à Cologne. Cette acquisition va permettre à Cerinnov de maintenir des compétences et un savoir-faire en Limousin et de devenir un acteur fort dans le développement d'usines clé en main dans la céramique tradionnelle.


Dans L'Usine Nouvelle, publié le 28 Juin 2013 :

Le groupe Cerinnov basé à Limoges poursuit son développement en reprenant une partie de l'activité du fabricant de fours Wistra. Implanté sur la technopole Ester de Limoges (Haute-Vienne), le groupe Cerinnov, spécialiste de solutions innovantes pour la fabrication d’équipements de production, a repris, le 26 juin, les actifs et la dénomination de Wistra France basée à Oradour-sur-Vayres (Haute-Vienne) et de sa filiale allemande. Cette opération de croissance externe va permettre au groupe de proposer une solution clé en mains aux industriels comme le précise son PDG Arnaud Hory. "Nous avons repris une partie de l'activité Wistra à savoir la fabrication de fours destinés à la céramique industrielle, technique et traditionnelle et le personnel qui était dédié à cette activité soit dix-sept personnes qui emménagent le 28 juin dans nos locaux de Limoges et six salariés en Allemagne qui s'installeront prochainement à Cologne. Nous travaillons de plus en plus sur des marchés d'usines clés en mains, nous fournissions jusqu'à présent des machines pour le façonnage et la décoration et nous sous-traitions les fours très hautes températures, cette reprise nous permet désormais d'avoir une offre globale en interne qui offre des ouvertures sur de nouveaux secteurs comme l'aréospatial et les céramiques techniques".
Pour soutenir le développement de ces nouveaux marchés, l'entreprise procède actuellement à douze recrutements. Les effectifs vont ainsi passer à 77 personnes et une extension est prévue de 1.000 mètres carrés chiffrée à 1 million d'euros pour 2014.
Le chiffre d'affaires prévisionnel de Cerinnov devrait atteindre 10 millions d'euros en fin d'exercice contre 6 millions en 2012. Avec la reprise de Wistra, il devrait osciller entre 15 et 20 millions, les deux entités Wistra affichant l'an dernier un chiffre d'affaires de 7 millions.
Le groupe Cerinnov est issu de la fusion en 2008 de la société Elmeceram fondée en 1975 et de la société Cerlase créée par Arnaud Hory et son épouse en 1998.

Legris Industries sort la tête de l'eau


Dans Les Echos, publié le 8 Avril 2013 :

L'industriel rennais estime que 2013 sera l'année du retour à la rentabilité. Il a complété son dispositif par une nouvelle activité de portée mondiale.

Tout un symbole, l'équipe du holding de Legris Industries a quitté la magnifique ancienne imprimerie Oberthur qu'il avait entièrement restaurée il y a plus d'une décennie. Erwan Taton, le président du directoire et ses collaborateurs sont désormais installés dans un immeuble du centre rennais beaucoup plus modeste. « Nous avons réorganisé le groupe pour qu'il retrouve une rentabilité », indique le dirigeant. Legris Industries a réalisé un chiffre d'affaires de 227 millions d'euros, en hausse de 9% en 2012. Si cet exercice reste déficitaire à hauteur de 2 millions d'euros contre une perte de 16,4 millions d'euros en 2011, « 2013 sera celui du retour des bénéfices », poursuit le dirigeant.
Legris Industries tourne donc définitivement la page de Kéria, l'ex-nom de sa division spécialisée dans les usines de briques et tuiles qui a été liquidée il y a quelques années. Désormais nommée Keller, elle n'intervient plus du tout en France, son siège social est d'ailleurs situé en Allemagne. « Keller qui a dégagé 76 millions d'euros de ventes l'an passé, en hausse de 24%, se porte bien car les usines complètes sont désormais destinées aux pays en croissance ». L'an dernier, elle a signé 4 contrats de briqueteries en Pologne, Russie, Arabie Saoudite et Azerbaijan.

Renouer avec une stratégie de croissance externe

Savoye, la seconde division du groupe toujours contrôlé par la famille Legris, est en recul de 9% et descend à un total de 89 millions d'euros. « C'est son modèle économique, insiste Erwan Taton, cet acteur international de la conception et de l'intégration de systèmes pour les centres de logistique, a des activités fluctuantes en fonction des dates de confirmation des commandes, 2013 sera une bonne année ».
Enfin, il existe Clextral (62 millions d'euros de chiffre d'affaires en hausse de 28%) dans laquelle le président du directoire met tous ses espoirs. Spécialisée dans les lignes de production clé en mains notamment pour les céréales des petits déjeuners mais aussi de pâte à papier, elle est jugée « très innovante » et s'apprête à créer à Rennes une plate-forme de R&D pour le développement d'une nouvelle technologie de production de lait en poudre.
Doté de 60 millions d'euros de fonds propres et d'une trésorerie excédentaire de 35 millions d'euros, Legris Industries qui réalise les 2/3 de ses contrats hors de l'Hexagone, se sent suffisamment armé pour renouer avec une stratégie volontariste de croissance externe. « On est à la recherche d'un quatrième métier industriel, pas nécessairement lié aux trois autres. Il sera de portée mondiale sur un marché de niche ». Erwan Taton n'en dira pas plus sur ses intentions si ce n'est que cette future division devrait générer entre 70 et 100 millions d'euros de recettes annuelles.

Et aussi
Dans Ouestfrance-entreprises, publié le 8 Avril 2013 :

Le groupe a redressé la barre

« Notre groupe est redevenu rentable », se félicite Erwan Taton, en présentant les bons chiffres de Legris industries en 2012: 227 millions d'euros de chiffre d'affaires (9% de plus qu'en 2011) et un résultat de 2 millions d'euros, après trois mauvaises années (- 11 millions en 2009, - 7 millions en 2010 et - 3,2 millions en 2011).
Pour redresser la barre, le groupe s'est développé à l'international en rachetant des entreprises ou en créant des filiales (Amérique du Sud, Russie, Moyen-Orient). « Aujourd'hui, près de la moitié de notre chiffre d'affaires est réalisé hors Europe de l'Ouest ». Legris industries, c'est 1300 salariés dans ses trois divisions: Clextral (process industriel), Keller (briqueteries et tuileries livrées clefs en mains) et Savoye (systèmes automatisés pour la logistique).
Legris, qui a retrouvé une solidité financière « avec 35 millions d'euros de trésorerie nette », prévoit de créer « une quatrième division, via « une acquisition majeure que nous prévoyons de faire aboutir d'ici à l'été 2014 ». Le groupe appartient à la famille rennaise Legris et compte deux sites en Bretagne: son siège social à Rennes (12 salariés) et Prodex, équipements de stockage et de convoyage industriel à Bourgbarré (30 salariés). L'activité historique de Legris (les raccords industriels) a été revendue en 2008 à l'américain Parker Hannifin.

L’entreprise Cleia va investir sur de nouveaux marchés


Dans Le Bien Public, publié le 27 Mars 2013 :

Chez Cleia, on avance doucement, mais sûrement. Cette société – qui a débuté son activité en avril 2010 avec un carnet de commandes quasi vide – affiche ­désormais des chiffres plus qu’encourageants.

Le Maghreb et l’Asie en ligne de mire
« Oui, nous sommes plutôt satisfaits. À tel point que l’on vise les 30 millions d’euros de chiffres d’affaires en 2013. L’entreprise a repris une taille normale et emploie aujourd’hui près de 90 personnes, contre 47 en 2010. La structure n’hésite pas à investir, à se développer et à aller sur de nouveaux marchés… », indique Thierry Allanic, responsable communication et marketing chez Cleia. Derniers exemples en date : la Libye et la Tunisie, pays dans lequel la société Cleia va implanter une filiale. Ce choix fait suite à la mise en vigueur d’un contrat prévoyant la construction de la plus grosse briqueterie du sud du pays. « En ouvrant cette filiale, Cleia montre bien sa volonté de s’implanter durablement au Maghreb. Actuellement, le ralentissement du marché européen nous oblige à nous tourner vers d’autres contrées », explique-t-il. « De telle sorte, que nous réalisons aujourd’hui près de 90 % de notre chiffre d’affaires en dehors de l’Europe et des États-Unis, lesquels faisaient pourtant partie de nos marchés phares autrefois. Pour l’un comme pour l’autre, les marchés sont saturés. C’est donc à nous de trouver d’autres solutions et l’une d’entre elles passe par un développement important de nos activités au Maghreb », rappelle Thierry Allanic. « Sur la centaine de projets que compte l’entreprise, près de la moitié concernent le Maghreb. »

Se faire connaître pour mieux se développer
Et de poursuivre : « C’est le cas également de l’Asie, où le marché reste complètement à défricher. Nous avons un représentant sur place qui examine les opportunités de développement sur ce secteur géographique. D’ailleurs, nous en avons au total près d’une vingtaine qui sont présents dans le monde entier. Leur rôle est très important pour Cleia, qui rêve d’avoir une couverture mondiale ». Bien conscient que l’implantation sur un marché demande souvent un gros travail en amont, Thierry Allanic en profite pour préciser que pour atteindre cet objectif, l’entreprise nolaytoise n’hésite pas à participer à des salons dans le monde entier. « Il faut être visible et se faire connaître sur les zones où il y a des perspectives de développement. Dans quinze jours, par exemple, nous serons présents sur un salon à ­Moscou. C’est, selon nous, l’un des moyens les plus forts pour pouvoir espérer pénétrer un marché. Nous sommes sur une bonne ­phase ; à nous de poursuivre sur cette voie. »

Décès de Eric Ghittori


Nous avons le regret de vous informer du décès de notre ancien collègue Eric Ghittori, projeteur au BE de Paris.
Le décès serait survenu ce 28 Février. Eric restera pour nous un collègue reconnu pour la qualité de son travail dont il a su faire preuve tout au long de ces 33 années. Nous présentons nos sincères condoléances à sa famille.

Tecauma se développe dans le transstockage


Sur le site Ouest France publié le 17 Mars 2013 :

Trois ans presque jour pour jour après le redressement de l'exTecauma filiale de Legris à l'époque, le redécollage est en bonne voie pour la société nouvelle Tecauma qui était reparti à neuf sous forme d'une PME indépendante de 60 employés zone de la Belle entré, aux Essarts. Lors de la reprise, les deux dirigeants, Philippe Breillac et Eddy Daunas, escomptaient atteindre 8 M € de chiffre d’affaires en cinq ans. Ils y sont au bout de trois (8,5 M€ en 2012). Symbole de ce renouveau, Tecauma vient d’ailleurs de sortir Tec’up, toujours dans le stockage grande taille. Ce nouveau système de transstockage va lui permettre d’étendre ses produits en direction de la métallurgie ou des ports à sec. Cet élargissement de la gamme (accompagné d’autant de dépôts de brevets) va de pair avec la volonté d’exporter de plus en plus vers des économies émergentes. Dernier volet du développement, la robotique, que ce soit dans les profilés, le vitrage, l’emboutissage ou la manipulation de pièces de bois dans la tonnellerie.

Article plus complet sur le site OuestFrance-entreprises.fr publié le 15 Mars.

CERIC Technologies déménage !


Sur la page Facebook de CERIC Technologies:

Pour faire face à sa croissance et permettre d’intégrer facilement de nouveaux collaborateurs, CERIC Technologies double sa surface de bureaux et déménage fin avril 2013 au 42 rue de Paradis, 75010 PARIS.

Legris aux prud'hommes


Sur le site Ouestfrance-entreprises, paru le 15 Février 2013 :

Maine-et-Loire. Le baroud d'honneur des ex-salariés de la Fimec
La grande partie des 153 salariés licenciés après le naufrage de la société du Pin-en-Mauges a assisté, jeudi, au procès devant le conseil des prud'hommes. Ils dénoncent une stratégie de profits.


C'est l'histoire d'une société du Pin-en-Mauges qui semblait taillée pour affronter toutes les tempêtes. « On avait même réussi à devenir numéro un mondial. » La Fimec, entreprise de bâtiment spécialisée dans la conception d'outils industriels, en particulier la livraison d'usines clé en main, s'est effondrée comme un château de cartes, à l'automne 2009. Laissant, quelques mois plus tard, 153 de ses 190 salariés sur le carreau.

Ce jeudi matin, une grande partie d'entre eux a assisté à l'audience de la dernière chance. Devant le conseil des prud'hommes, réuni au tribunal de grande instance, ces ex-employés sont venus contester leurs licenciements. Et surtout dénoncer le contexte : le rachat, quelques années plus tôt de l'entreprise familiale par le groupe international Legris, avant la cessation de paiement d'une kyrielle de filiales, présentée simultanément devant le tribunal de commerce de Paris.

« Une faillite organisée »
Dans la salle archicomble, les deux avocates des salariés, Mes Justine Candat et Céline Parès développent, dans un premier temps, leurs arguments. Pour la première, le groupe Legris doit assumer directement les conséquences de la déconfiture de sa filiale du Pin-en-Mauges. « Elle a organisé la faillite de la totalité de ses filiales françaises. » Elle en veut pour preuve un rapport d'audit du 20 mai 2009, commandé par Legris. « Avant la liquidation d'avril 2010, il présentait deux scénarios pour gagner de l'argent, dont l'un prévoyait de se débarrasser de la Fimec. » Pour elle, le groupe aux 24 sites, aux 34 implantations, aux 745 millions d'euros de chiffre d'affaires et aux 2 450 salariés gérait directement la société du Pin-en-Mauges.

Il n'aurait pas non plus présenté suffisamment d'offres de reclassement et aurait cherché à faire supporter le coût des licenciements à la collectivité. C'est ce qu'elle soutient, comme sa consoeur qui vise une filiale de Legris : Keyria. « En avril 2008, la Fimec a versé 9 millions d'euros de trésorerie aux actionnaires de cette société. Depuis les années 60, les bénéfices alimentaient les réserves pour les moments difficiles. Une gestion de bon père de famille. » Les avocates présentent des demandes de dommages et intérêts de 1 000 € par salarié.

Avec le rachat, en 2006, de l'entreprise familiale, le loup serait-il entré dans la bergerie ? Pas du tout, rétorque Me Guillaume Bordier, avocat de Keyria, qui dénonce une « théorie du complot ».

S'appuyant sur des décisions favorables de la quasi-totalité des autres conseils de prud'hommes saisis en France, il interroge : « Mon client aurait dépensé 51 millions d'euros pour le seul plaisir de licencier ? » Surtout, il s'efforce de démontrer l'indépendance des entités. Et rappelle la violence de la crise, dès la fin 2008. « Le chiffre d'affaires du premier semestre 2009 était en chute de 71,4 %, les entrées de commandes ont baissé de 150 millions d'euros. »

Même son de cloche chez Me Aurélien Boulanger, avocat du groupe Legris. « Il y a une cible déterminée, des pièces, et on essaie de constituer un puzzle. Mais comme les pièces ne rentrent pas, on les corne à coups de ciseaux. » Lui aussi réfute l'idée d'un « plan stratégique pour vampiriser les filiales ». Il nie « le versement du moindre euro de dividende ».

Délibéré le 3 septembre.

Meilleurs vœux !


Toute l'équipe de ParlonsCERIC vous souhaite une très bonne année

et vous remercie de votre fidélité !!