Cleia, un an après son démarrage


Sur le site du Conseil Régional de Bourgogne, paru dans le 23 Mai 2011:

Jeudi 19 mai 2011, Philippe Pénillard, président de Cleia à Nolay, a accueilli François Patriat, président du conseil régional de Bourgogne, dans l'entreprise un an après son démarrage. Au programme : un point sur les récentes commandes, l’activité de l’entreprise et les perspectives de développement ainsi qu'une visite des ateliers de séchage.
La Région s’est engagée dès le départ en confirmant sa contribution financière à hauteur de 950 000 euros sur les volets trésorerie et aide à la création d’emplois. Dès lors, la société Cleia a pu valoriser son plan de reprise et démarrer son activité industrielle en maintenant 55 emplois sur le site.
Parmi les clients historiques de l’ancien groupe Ceric qui font désormais confiance à Cleia, nous retrouvons de grands groupes tels que Wienerberger, Terreal, Monier et Imerys ainsi que les clients privés et régionaux leaders sur leurs marchés.
Après une première année 2010 au-delà de ses prévisions, Cleia vient de mettre en vigueur à l’international deux contrats importants totalisant près de 12 M€ d’entrées de commandes :
  • une briqueterie complète de 140 000 tonnes/an en Algérie, l’un des rares marchés actif, remportée grâce à une solution alliant innovation, robustesse et fiabilité,
  • la réalisation pour le groupe ETEX de l’ensemble des manutentions automatiques d’une nouvelle tuilerie ultra moderne en Pologne qui figurera parmi les plus importantes en Europe, ce qui confirme la position de leader de Cleia pour les hautes technologies et la robotique.
Le chiffre d’affaire pour 2011 est attendu au-delà de 20 M€, et les entrées de commandes sensiblement supérieures aux prévisions, à plus de 30 M€, grâce notamment à la mise en vigueur d’une référence mondiale du secteur programmée à la fin du premier semestre, pour un montant d’environ 20 M€.
Après une année de transformation réussie ayant notamment permis la réouverture du laboratoire d’essais de séchage et de cuisson 4C - Centre de Compétences Céramiques de Cleia -, ainsi que la mise en place d’un atelier de fabrication de fours et de maintenance d’équipements thermiques, ce démarrage prometteur permet à CLEIA d’envisager une croissance sereine et durable ainsi que l’embauche de 15 personnes d’ici le 1er septembre prochain.

Tecauma, en avance sur ses objectifs, vise 7 M€ en 2011


Sur le site Territoire Innovation :

Tecauma vise 7 M€ de chiffre d’affaires en 2011, 8 M€ en 2012. Née le 1er mars 2010 de la reprise à la barre du tribunal de commerce d’une filiale de Keyria (groupe Legris industries), la société des Essarts est en avance sur son plan de marche. « Compte tenu de notre carnet de commandes, 70 % des objectifs de l’année sont déjà assurés », affirme Philippe Breillac, président. La force de Tecauma ? Sa grande capacité d’innovation. « Nous investissons massivement en R&D pour conserver une avance technologique sur les process développés », souligne Philippe Breillac. Tecauma lance ainsi une nouvelle génération de cadreuse de coulissants entièrement automatisable et un stockage automatique de profilés. Des nouveautés que la société va présenter à ses clients lors de journées techniques du 24 au 27 mai. Ses clients ? « Nous réalisons 50 % de notre activité avec le secteur de la menuiserie industrielle, 40 % avec le secteur de la construction et 10 % avec l’agroalimentaire », détaille Philippe Breillac. Pour faire face à cette croissance, Tecauma envisage au minimum 5 recrutements sur l’année, ce qui devrait porter ses effectifs à près de 50 salariés.


Et sur TV-Vendée Philippe Breillac faisait partie de l'émission Cap'Emplois pour présenter la société et recruter.

Prud’hommes à Dijon: Legris Industries co-employeur ?


Sur le site du Bien Public, paru dans le 18 Mai 2011:

Prud’hommes. 77 anciens salariés de Ceric Automation du site de Nolay à l’audience, hier. Ils veulent des indemnités

Les anciens salariés de Ceric Automation du site de Nolay ont assisté, hier, à l’audience du conseil des Prud’hommes. Ils espèrent des indemnités.

Les anciens salariés du site de Ceric Automation de Nolay se sont retrouvés hier, devant la cité judiciaire de Dijon, afin d’assister, enfin (l’audience a déjà été reportée une fois), au procès engagé devant le conseil de prud’hommes de Dijon. « Nous avons engagé cette action pour faire reconnaître que Legris Industries est notre co-employeur », a rappelé André Fouquerand, président du comité d’entraide des salariés. La liquidation judiciaire de l’entreprise Ceric Automation de Nolay, fabriquant des machines automatiques de manutention (tuiles et briques), avait été prononcée le 18 avril 2010 aux frais de l’Etat. Hier, 77 salariés parmi les 82 non-cadres licenciés étaient présents à l’audience. Ils refusent de se contenter de l’indemnité de 5 000 € accordée à chacun.

Leurs deux avocats parisiens ont tenté de démontrer point par point la qualité de co-employeur de la société Legris Industrie : « Il est patent que Legris Industries a donné des ordres et des directives aux salariés de Ceric Automation (...). Le statut de co-employeur de la société Legris Industries à l’égard des salariés licenciés est en l’espèce caractérisée tant au regard de la définition classique du lien de subordination que par la confusion totale d’activité, d’intérêt et de dirigeants entre Legris et Ceric Automation. » Ils ont également dénoncé le plan de sauvegarde de l’emploi « nettement insuffisant au regard des moyens de la société Ceric automation, de la société Legris Industries et du groupe Legris Industries ». Ils ont demandé au conseil des prud’hommes de constater la nullité des licenciements et demandé en conséquence que soit payée à chacun des salariés une indemnité. Des indemnités qui pourraient atteindre 60 mois de salaire, pour les plus de 25 ans d’ancienneté.

Le porte-parole du groupe Legris Industries que nous avons contacté hier veut croire pour sa part « que la justice constatera que la notion de co-employeur n’est pas avérée. L’existence de filiales au sein d’un groupe n’a pas pour effet de créer une situation de co-emploi ( ...) ». « Il appartient au conseil prud’homal d’apprécier ces éléments », a poursuivi le porte-parole.

L’affaire a été mise en délibéré. Le jugement sera rendu le 27 septembre. L’audience des cadres se déroulera le 23 mai.

Adler Technologies fournit une ligne de production complète de blocs-béton à AB Corse


Sur le site de FranceBTP.com, paru dans le 13 Mai 2011:

Adler Technologies (groupe Materials Technologies), concepteur-fabricant d'équipements pour le traitement du béton basé dans l'Oise, a récemment livré une ligne de production clé-en-main à l'entreprise Agrégats Béton Corse, implantée à Aléria (2B).

Montée en moins de deux mois dans un bâtiment entièrement bardé et insonorisé de 880 m², la nouvelle installation comprend notamment une presse A650, un ascenseur, un transbordeur, un descenseur, et un système de palettisation avec chariot-pince. En sus de la ligne proprement dite, Adler Technologies a fournit son expertise concernant le process de production dans sa globalité. "En tant qu'ensemblier, nous apportons une solution complète à nos clients", résume Yann Jaubert, président d'Adler Technologies. Pierre Pifferini, gérant d'AB Corse (5,3 milions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, 40 personnes), prévoit de produire 500 000 blocs-béton cette année. L'investissement réalisé pour le producteur de granulats corse s'élève à 1,5 millions d'euros. "Le retour sur investissement est prévu dans 10 ans", conclut Pierre Pifferini.